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INTERVIEW – Delpharm

Tags : Industrie interview

Avec 17 usines et 4700 collaborateurs, le groupe Delpharm s’inscrit dans le top 5 mondial  de sous-traitant pharmaceutique. L’université de Bourgogne part à la rencontre de Geneviève Savreux, Responsable Emploi Formation sur le site de Dijon.

Pouvez-vous nous présenter les activités de votre entreprise ?

Delpharm est fabriquant, producteur et développeur de médicaments. C’est un sous-traitant de l’industrie pharmaceutique 100% français. L’entreprise a acquis des expertises qui concernent les médicaments sous formes galéniques (forme sous laquelle le médicament se présente) : solides, semi-solides et liquides non-stériles et stériles.

Quelle est son actualité, ses projets ?

À Dijon, nous sommes sur l’ancien site de production SANOFI racheté en 2015. Nous travaillons sur deux catégories de formes galéniques : sèches (comprimés, gélules) et injectables (par répartition stérile finale ou aseptique). Nous sommes à un niveau de technicité très exigeant avec ces formes injectables. Le gros projet est de faire du site de Dijon un site d’excellence et d’expertise au niveau de la production aseptique (exempt de toute germe) et de le développer.

Quelle est votre fonction ? Qu’est-ce qui vous motive dans vos missions ?

Je suis Responsable Emploi Formation. Ce qui me motive, c’est que nous travaillons sur un site dynamique avec un gros potentiel de développement. Accompagner l’entreprise dans tous ses projets de développement, c’est vraiment passionnant : cela implique de maintenir les emplois et les compétences à haut niveau… Cela est possible grâce aux recrutements et par l’insertion des étudiants à travers l’alternance et les stages. Mon métier consiste aussi à réfléchir aux métiers de demain, qui vont sans doute évoluer.

Delpharm recrute-t-il actuellement ? Quels sont les profils recherchés ?

Nous sommes à la recherche régulière de pharmaciens pour le service qualité opérationnel ou d’ingénieurs pour des postes divers : encadrement, responsable d’équipes en production, chargé de projets analytiques, chargé de qualification validation, chef de projets industriels, chef de projets industrialisation… Les postes liés aux projets sont souvent en CDD mais amènent parfois à des titularisations en CDI. Nous avons aussi besoin de main d’œuvre en production : conducteurs de ligne, techniciens de laboratoire et de maintenance qui démarrent en intérim avec une possible titularisation en CDI en fonction des besoins.

Quels conseils donneriez-vous à un.e étudiant.e qui voudrait travailler dans le secteur pharmaceutique ?

L’industrie pharmaceutique n’est pas neutre : c’est une mission de santé publique où l’on fabrique des médicaments qui vont être administrés à des patients ; les patients ont besoin de nous pour soigner leur pathologie. Il faut avoir conscience que le domaine pharmaceutique est aussi un secteur très exigeant, qui nécessite d’être très rigoureux avec une traçabilité à tous les niveaux et cela peut être très contraignant.

Quels conseils donneriez-vous à un.e étudiant.e qui voudrait postuler dans votre entreprise pour un stage, une alternance, un emploi ?

Nous prêtons une attention particulière au contenu de la lettre de motivation. Nous essayons de déceler ce qui pousse le candidat à postuler dans l’industrie pharmaceutique, s’il a conscience du milieu dans lequel il veut rentrer, l’enjeu et les contraintes. L’implication au niveau associatif est également à mettre en avant. Le comportement et le savoir-être sont fondamentaux dans le recrutement. Le degré d’investissement et la motivation pour les personnes issues de formations transverses n’est pas non plus à négliger.

La filière pharmaceutique vous intéresse ? Quelques ressources :

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Avec 17 usines et 4700 collaborateurs, le groupe Delpharm s’inscrit dans le top 5 mondial  de sous-traitant pharmaceutique. L’université de Bourgogne part à la rencontre de Geneviève Savreux, Responsable Emploi Formation sur le site de Dijon.

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Pouvez-vous nous présenter les activités de votre entreprise ?

Delpharm est fabriquant, producteur et développeur de médicaments. C’est un sous-traitant de l’industrie pharmaceutique 100% français. L’entreprise a acquis des expertises qui concernent les médicaments sous formes galéniques (forme sous laquelle le médicament se présente) : solides, semi-solides et liquides non-stériles et stériles.

Quelle est son actualité, ses projets ?

À Dijon, nous sommes sur l’ancien site de production SANOFI racheté en 2015. Nous travaillons sur deux catégories de formes galéniques : sèches (comprimés, gélules) et injectables (par répartition stérile finale ou aseptique). Nous sommes à un niveau de technicité très exigeant avec ces formes injectables. Le gros projet est de faire du site de Dijon un site d’excellence et d’expertise au niveau de la production aseptique (exempt de toute germe) et de le développer.

Quelle est votre fonction ? Qu'est-ce qui vous motive dans vos missions ?

Je suis Responsable Emploi Formation. Ce qui me motive, c’est que nous travaillons sur un site dynamique avec un gros potentiel de développement. Accompagner l’entreprise dans tous ses projets de développement, c’est vraiment passionnant : cela implique de maintenir les emplois et les compétences à haut niveau… Cela est possible grâce aux recrutements et par l’insertion des étudiants à travers l’alternance et les stages. Mon métier consiste aussi à réfléchir aux métiers de demain, qui vont sans doute évoluer.

Delpharm recrute-t-il actuellement ? Quels sont les profils recherchés ?

Nous sommes à la recherche régulière de pharmaciens pour le service qualité opérationnel ou d’ingénieurs pour des postes divers : encadrement, responsable d’équipes en production, chargé de projets analytiques, chargé de qualification validation, chef de projets industriels, chef de projets industrialisation… Les postes liés aux projets sont souvent en CDD mais amènent parfois à des titularisations en CDI. Nous avons aussi besoin de main d’œuvre en production : conducteurs de ligne, techniciens de laboratoire et de maintenance qui démarrent en intérim avec une possible titularisation en CDI en fonction des besoins.

Quels conseils donneriez-vous à un.e étudiant.e qui voudrait travailler dans le secteur pharmaceutique ?

L’industrie pharmaceutique n’est pas neutre : c’est une mission de santé publique où l’on fabrique des médicaments qui vont être administrés à des patients ; les patients ont besoin de nous pour soigner leur pathologie. Il faut avoir conscience que le domaine pharmaceutique est aussi un secteur très exigeant, qui nécessite d’être très rigoureux avec une traçabilité à tous les niveaux et cela peut être très contraignant.

Quels conseils donneriez-vous à un.e étudiant.e qui voudrait postuler dans votre entreprise pour un stage, une alternance, un emploi ?

Nous prêtons une attention particulière au contenu de la lettre de motivation. Nous essayons de déceler ce qui pousse le candidat à postuler dans l’industrie pharmaceutique, s’il a conscience du milieu dans lequel il veut rentrer, l’enjeu et les contraintes. L’implication au niveau associatif est également à mettre en avant. Le comportement et le savoir-être sont fondamentaux dans le recrutement. Le degré d’investissement et la motivation pour les personnes issues de formations transverses n’est pas non plus à négliger.

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